La team #les Kiwis
Portrait de pilotes
Et voilà la toute première équipe formée par Hand’Icare Cup ! Ils se sont inscrits en individuel et ont joué le jeu pour créer un chouette binôme.
C’est la team #Les Kiwis d’Arnaud et Gilles qui participera aux épreuves « Experts »
HIC : Pouvez-vous vous présenter rapidement ?
Je suis Gilles CAMPESTRINI, je suis retraité, j’ai 65 ans. J’habite Seyssinet Pariset, près de Grenoble.
Je suis Arnaud, je suis ingénieur et j’ai 28 ans. J’habite à Grenoble.
HIC : Comment pratiquez-vous le parapente ?
Gilles : Je vole depuis environ 12 ans, j’ai visité presque tous les sites des environs. A présent je vole surtout à St Hil. Je vole de plus en plus etl’an dernier j’ai totalisé 162 heures de vol.
Avec Arnaud nous n’avons pas encore volé ensemble mais j’espère que ce sera pour bientôt.
Arnaud : J’ai visité les principaux sites grenoblois avec le DUCK (club parapente de Grenoble) et fait quelques excursions à Annecy et en Tarentaise, je découvre les premiers cross. À ce jour, je totalise plus de 50h de vol.
Je suis sourd profond appareillé, j’entends mais j’ai besoin de lire sur les lèvres pour comprendre. Cela élimine toute communication par radio, cela n’a pas empêché aux moniteurs Prévol de trouver des astuces pour m’aider à acquérir de l’autonomie en vol… 🙂
HIC : Pourquoi participer à Hand’Icare Cup ?
Gilles : J’ai appris l’existence de l’Hand’Icare Cup lors de la « Conquête Indienne » de Montlambert, et j’ai l’intention d’y participer.
Le parapente n’est à mon avis pas que le plaisir du vol, c’est aussi, la rencontre, le partage, l’amitié et la convivialité. L’Hand’Icare Cup semble être le lieux idéal pour tout ça.
Arnaud : Un membre de la Team Hand’Icare Cup m’a contacté au sujet de l’événement, le concept était intéressant et je me suis inscrit de suite. L’événement permet de rencontrer d’autres pilotes et de découvrir leurs astuces et leur manière de voir l’activité du vol libre. Ce sera aussi l’occasion de trouver ses prochains partenaires de vol…
Je n’ai pas encore volé avec Gilles, ce sera une découverte enrichissante.
Le parapente me permet de voir les montagnes sous un autre angle autre que l’alpinisme. La gestion du risque est toujours présente et favorise les échanges avec les autres pilotes pour progresser et faire durer cette liberté qu’on retrouve dans le vol libre.
HIC : Ils ont tout compris de l’esprit qu’on a souhaité insuffler avec cette première édition !